LIBERATION-17mai2022-transparentalités

Pour l’IDAHOT du 17 mai 2022, la journée internationale de lutte contre les LGBTIphobies, Libération a réalisé 4 pages incroyables sur les parentalités trans. 🥲<— émotion.
Voici les liens vers les articles ci-dessous et quelques extraits.


Une belle visibilité pour les parentalités trans avec bienveillance, qui corrobore cette réflexion chiffrée sur la présence des parents en Europe . Une présentation non seulement constructive mais avec une vue globale des problématiques que l’on peut subir, du journalisme sincère qui fait du bien <3



Parentalité
Ali, parent trans : » J’ai envie de raconter cette histoire, parce que nos identités et nos trajectoires sont politiques »

Ali, directeur d’un établissement médico-social, à Paris le 13 mai. (Cha Gonzalez/Cha Gonzalez pour Libération)

Assigné femme à la naissance, Ali a accouché d’une petite Salomé en 2019. Avec son époux François, ils ont obtenu la reconnaissance leur double filiation paternelle à l’état civil, dès la naissance de leur fille. Une situation encore exceptionnelle.

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Transparentalité
Claire, Mère trans :  » Si vous ouvrez un éventail de possibilités à une enfant, elle s’en empare »

Claire, créatrice du blog Maman Trans, le 5 mai à Paris. (Cha Gonzalez/libération)


Au commencement était un conte. Bien sûr, il y était question d’un château, et d’un prince. Un prince malheureux, mais qui ne savait pas vraiment pourquoi… Tout juste savait-il que «quelque chose clochait» entre son reflet dans le miroir et la manière dont il se percevait. Cette histoire, celle du «Prince qui était une princesse», Claire, illustratrice francilienne de 48 ans, l’a créée de toutes pièces il y a bientôt dix ans, pour expliquer sa transidentité à sa fille, alors âgée de 4 ans. Ensemble, elles avaient un jeu, prétexte à des moments de complicité : inventer des histoires, que Claire crayonnait en temps réel, la petite sur les genoux.
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Famille
Filiation : les personnes trans, parents pauvres de l’état

Lors de la manifestation organisée par le collectif ExisTransInter, samedi à Paris. (Hubert Didona / saif images)

La reconnaissance officielle de la maternité ou de la paternité, en accord avec son identité de genre, dépend encore du bon vouloir des tribunaux qui, sans législation ni jurisprudence, tranchent au cas par cas. Les associations réclament une vaste réforme pour donner accès à une vie de famille sans distinction.

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